L’enrichissement de la farine de blé
Apporter une assistance technique pour assurer :
- Le soutien à la formulation de normes appropriées, à la législation obligatoire et à son application
- Le renforcement de la capacité des meuneries
La nutrition des adolescents
- Administration de suppléments hebdomadaires de fer et d’acide folique et prestation de conseils aux adolescentes scolarisées et non scolarisées
- Éducation nutritionnelle fournie aux garçons et aux filles dans les écoles
La santé et la nutrition de la mère et du nouveau-né
Soutenir un ensemble d’interventions destinées à la santé de la mère et du nouveau-né pour augmenter :
- La qualité des soins prénataux et la participation des femmes enceintes
- L’approvisionnement et la consommation de suppléments de fer et d’acide folique pendant la grossesse
- Les soins au nouveau-né et les soins postnataux
La nutrition des nourrissons et des jeunes enfants
- Amélioration de la qualité, de la portée et de la couverture des interventions en matière de nutrition destinées aux nourrissons et aux jeunes enfants dans le cadre de programmes de vulgarisation sanitaire du système de santé
Les résultats publiés les plus récents (2018)
- 3 600 – production, en tonnes métriques, de farine de blé suffisamment enrichie et 28 500 femmes de plus y ont eu accès
- 85 000 – augmentation du nombre d’adolescentes qui ont suivi la totalité du programme de supplémentation hebdomadaire de fer et d’acide folique
- 234 000 adolescentes scolarisées et non scolarisées ont pris au moins un supplément
- 600 000 adolescents (385 231 filles et 212 111 garçons) ont reçu une éducation nutritionnelle sensible au genre
- 173 000 – augmentation du nombre de femmes enceintes qui ont consommé au moins 90 suppléments de fer et d’acide folique pendant la grossesse
- 400 000 – augmentation du nombre de nouveau-nés qui ont profité d’un ensemble d’interventions à la naissance
- 52 000 – augmentation du nombre de nourrissons de moins de cinq mois qui ont reçu l’allaitement maternel exclusif
- 3 000 – augmentation du nombre d’enfants de six à 23 mois qui ont reçu un régime alimentaire minimum acceptable